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Aide et information

Modèles météo sur Meteologix  

En te concentrant sur le Sud-Ouest de la France, voici une sélection des meilleurs modèles (et produits) disponibles sur Meteologix ou équivalents, classés par type de nuage, avec quelques recommandations spécifiques à la topographie et météo régionale.

🌫Nuages bas / moyen-bas

(stratus, brouillards, stratocumulus, couches d'inversion, etc.)

Rang Modèle Pays Pourquoi adapté
🥇 AROME (ARM) France Ultra haute résolution (1.3 km), excellent pour reliefs (Pyrénées), brouillard en vallée, inversions matinales (Garonne, Dordogne).
🥈 ICON-D2 (ICD2) Allemagne Très bon modèle local à 2.2 km dispo sur Meteologix. Bonne représentation des bancs nuageux en flux d’ouest.
🥉 UKMO (UK) Royaume-Uni Bien couplé à l’humidité au sol et à l’océan, intéressant pour les entrées maritimes depuis le Golfe de Gascogne.


☁️ Nuages élevés (cirrus, cirrostratus)

(souvent associés aux arrivées de perturbations atlantiques, ondes en altitude, flux subtropicaux)

Rang Modèle Nationalité Pourquoi adapté
🥇 ECMWF / IFS 🇪🇺 Europe Excellente assimilation satellite, très bonne détection des cirrus liés à les flux d’altitude (jet stream, advections depuis l’Atlantique).
🥈 UKMO (UK) 🇬🇧 Royaume-Uni Fiable pour les perturbations en altitude arrivant depuis l’Atlantique. Bon couplage dynamique-nuage.
🥉 ICON (IC, ICHD) 🇩🇪 Allemagne Haute résolution verticale, efficace pour détecter les cirrus d’avalement pyrénéen ou en amont des fronts.


Animations satellite infrarouge
 

Dans ce type d'animation, la couleur des nuages varie du gris foncé au blanc ou à d'autres couleurs selon l'animation. Se référer à la légende.
Ces animations sont visibles 24h/24.

Couleur blanche

Représente les basses températures, c'est-à-dire les nuages de haute altitude (Cirrus, Cirrocumulus, Cirrostratus et traînées de condensation) qui se forment au-dessus de 5000 m.


 

Cirrus.
(A gauche de l'animation)

 

   

 

La couleur blanche peut aussi représenter les nuages verticaux s'élevant haut dans l'atmosphère. Ils sont le résultat de fortes convections produisant des orages. Ils se caractérisent par de petites zones blanches assez contrastées qui évoluent rapidement.


 

Formation orageuse.
(Au centre et légèrement sur la droite)

   
         
Couleur grise

Représente les températures plus élevées, c'est-à-dire les nuages les plus bas et moyennement bas (en dessous de 2000 m jusqu'à 5000 m) : cumulus, stratus, stratocumulus, altostratus, altocumulus, nimbostratus. Souvent, ils sont annonciateurs de précipitations. Ils peuvent aussi être difficiles à détecter sur les cartes infrarouges lorsque leur température diffère peu de celle de l'océan ou du sol.

 

   

Interprétation des données de seeing  

  • Pour un bon seeing, les trois couches nuageuses doivent avoir une valeur de 0 % (pas de nuage), des indices de seeing verts (maximum 5), et le Jet Stream doit être le plus favorable possible.

    La couverture nuageuse est représentée par trois couches : basse (low) : 0 à 4 km | moyenne (mid) : 4 à 8 km | haute (high) : 8 à 15 km. Les nuages de très faible altitude ne sont pas représentés car leur température est pratiquement (voire même identique) à celle de la surface de la Terre. Ils sont très difficiles à détecter en infrarouge. Cette situation est assez rare, mais il arrive parfois, pour l'avoir constaté, que les prévisions annoncent un ciel totalement dégagé alors qu'une couverture nuageuse épaisse et très basse se trouve au-dessus de nos têtes.

    Les indices 1 et 2 du seeing sont donnés sur une échelle de 1 : Mauvaises conditions à 5 : Excellentes conditions. Cette valeur est calculée par intégration des couches turbulentes de l'atmosphère.

    Un courant de Jet Stream à grande vitesse (> 35 m/s) équivaut normalement à une mauvaise vue, tout comme ceux à faible vitesse (< 5 m/s).


  • ArcSec : estime la taille minimale d'un objet visible au télescope, exprimé en angle.

    Information basique sur le calcul.


  • Mauvaises couches, ou "Bad layers" : désignent les couches basses de l'atmosphère où les mouvements d'air influencent directement la qualité du seeing. Ces mouvements sont souvent causés par des différences de température et de pression entre les différentes couches d'air. Plus ces écarts sont marqués, plus l'air devient instable, créant des courants de convection et des "bulles" d'air ayant des températures et des pressions différentes. Lorsque les rayons lumineux traversent cette zone perturbée, ils ne sont pas déviés de manière uniforme, car chaque bulle d'air dévie la lumière à sa manière. Ce phénomène provoque des déformations de l'image, connues sous le nom de turbulence, et c'est ce que l'on observe au télescope sous la forme d'images scintillantes ou floues.

    Le gradient thermique, exprimé en K/100m, décrit la variation de température en fonction de l'altitude. Il indique combien la température change sur une distance de 100 mètres. Pour des conditions atmosphériques stables favorables à l'observation astronomique, ce gradient doit généralement être inférieur à 0,5K/100m. Lorsque ce seuil est dépassé, les mouvements d'air deviennent plus turbulents, ce qui dégrade la qualité du seeing. L'altitude des "mauvaises couches" est donnée par deux points de référence : "Bot" pour la base (Bottom) et "Top" pour le sommet (Topper). Ces deux altitudes définissent la zone de l'atmosphère où les turbulences affectent le plus les observations.


  • Ground (Sol)

    Temp : Il s'agit de la température du sol. Plus la différence entre celle-ci et la température de l'air est importante, plus il y a de mouvements d'air convectifs. Tant que cette différence reste inférieure à 3°C, les conditions restent généralement acceptables. Toutefois, il faut être prudent avec ces données, car localement, des surfaces comme les routes goudronnées ou les dalles en béton peuvent présenter des écarts thermiques importants qui favorisent les turbulences et dégradent le seeing.

    Hum : C'est le taux d'humidité relative proche du sol. Un taux modéré, situé entre 40 % et 60 %, est idéal pour l'observation. En dessous de 40 %, l'air est trop sec et peut créer des turbulences, tandis qu'au-dessus de 60 %, l'humidité devient trop élevée, favorisant la formation de brume, de nuages bas, ou de condensation sur les optiques.


  • Celestial Bodies : donnent les planètes visibles aux dates et heures.


 

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